15 Juin 1938 - minuit cinq!

Demi-Dieu Nombre de messages : 213 Age : 53 Date d'inscription : 12/11/2006

Les portes de la cuisine s'ouvrent avec de grands "aahaaa", "hoooo" qui escortent l'immense gateau d'anniversaire porté par de solides serveurs vers la table du commandant.

15 Juin 1938 - minuit cinq! Gateau

L'orchestre entonne alors joyeusement un "happy Birthday" qui est repris de façon générale par tous les convives.

Mac Farland se lève visiblement ému et se prépare à souffler ses 46 bougies. Au moment de prendre son souffle, il se dit qu'il devra apprendre à son chef patissier à compter, car il semble y avoir beaucoup trop de bougies sur ce gâteau, mais qu'importe!!

Une fois les flammes soufflées et les lumières de la salle revenues, les serveurs emportent le gateau afin de le découper et Chris Mc Farland se retourne vers son auditoire afin de faire le "très attendu" et "incontournable" discours de remerciement.

Il se racle le fond de la gorge, prend une grande inspiration, et déclare d'une voix assurée:

[HRP] Attendez que Many poste le discours qu'il a préparé avant de mettre à vos tours vos propres posts [/HRP]

[Chris Mc Farlan]

Citation :: Je tiens a remercier toutes les personnes qui m'ont fait la bontée de leur présence en ce jour mémorable de mes 46 ans!Et merci pour les cadeaux!
46 ans deja!...(j'apercois Paula dans cette magnifique robe qu'elle porte si bien)
Magnifique! dis je à haute voix
Magnifique soirée!! Repris-je. J'espere que vous passez une soirée toute aussi delicieuse que pour moi!! Sur ce je n'ai qu'une chose a dire:"Champagne!!" Levant mon verre pour trinquer.

Carry a écrit:: déçue par l' absence de réaction du capitaine je décide d' aller voir la mer a l' arrière du bateau...

Demi-Dieu Nombre de messages : 213 Age : 53 Date d'inscription : 12/11/2006

Alors, sous des tonnes d'applaudissement, soulagés que Mac Farland ne les innondasse pas sous un discours fleuve, les invités entonnent de tout coeur un nouveau "happy birthday Mr. Mac Farland" tandis que d'autres accoudés au bar et plutôt émmechés scandent à leur tour "du champagne", "du champagne"!!

15 Juin 1938 - minuit cinq! Pyramide_1

Un serveur à califourchon sur un escabot, ouvre alors les premières bouteilles de champagne et commence à remplir la fontaine à champagne, cad un ensemble pyramidal d'une centaine de flûtes entreposées les unes sur les autres, la base des verres étant remplie par l'écoulement du champagne en cascade depuis le haut de cette pyramide.

Invité

Edwing Ussel a écrit:: Je suis au fond de la salle

Alicia est a mes cotés et me presse le bras

Je n'écoute que d'une oreille ce que nous raconte Mac Farland
Troublé que je suis, son discours ne m'interesse que trés peu
Je ne réagis que lorsqu'Alicia me donne un coup de coude dans les cotes pour me signaler le début du "Happy Birthday" qu'elle entonne alors, trés vite suivi par l'arrivée du champagne que certains avait l'air de désirer plus qu'autre chose

Je regarde la fontaine à champagne d'un oeil indifférent

William Foster a écrit:: Mon verre de gin à la mains j'ecoute d'une oreille discrete le faible discours du gras armateur...
Je me répète qu'il est bien bidonant dans son costume beige.
Je vois Louise arriver d'un pas pressée vers moi je me leve pour l'eviter encore une fois de plus au moment où la lumiere s'enteint et que les hooo et haaa et la cascade de champagne se déclenchent...
Je sors du salon et regarde la mer, la lune est croissante et au deux-tiers pleine et le ciel sans un nuage, je pense qu'il ne pleuvra pas ce soir comme ces jours derniers.

Tim Fritz a écrit:: Mc Farland vient de se lever... toutes les lumières ce sont soudainement éteintes, pour ne laisser la place qu'a un énorme projecteur braqué sur l'armateur. Je suis mal a l'aise, je me suis pourtant mit sur mon 31. Je dois préserver les apparences.
Malgrès ce tonnère d'applaudissements, et tous les convives debouts, malgrès cette atmosphère chaleureuse... je me sens seul. Mc Farland m'a lancé un regard étrange en se levant, j'en suis sûr!
Je me leve, et applaudis, me fonds, autant que ce peu, dans la masse bruyante et beuglante qui compose ce navire.
Je lustre ma fine moustache une dernière fois, et lance un sourire tout en levant mon verre vers le ciel.
J'ai quitté le poste de commandement du navire, je l'ai laissé seul, sans surveillance à un jeune blanc bec de New York qui se prend déjà pour un Marin expérimenté. J'espère ne pas avoir fais d'erreur, ce soir je n'en aurais pas le droit. Le cap a été confirmé, la station météo du navire indique un temps au beau fixe, tout semble calme et sous contrôle, mais je sais pertinemment que la Mer se fiche éperdument des prévisions... je connais sa traîtrise et sa versalité.
J'embrasse rapidemment la salle d'un regard...
Mais ou donc est cette jeune femme ... Je la cherche du regard ...
Mac vient de finir son discours presque interrompu par les applaudissements et tous ces cris.
Je touche ma poche intérieure de veston, mais ou sont donc mes cigarettes?
Bon Dieu!, dès que tout ce cinéma sera fini... je retourne au poste... j'ai un sale présentiment.
Trop de questions, trop de doutes, et aucune réponse !

Louise SANDOVAL a écrit:: Je vois que William s'éloigne à nouveau de moi. J'avais cru à un hazard la première fois, mais maintenant je suis à peu près certaine qu'il m'évite. Tant pis, je discuterais de choses, et surtout d'autres, avec lui à un autre moment. Pour le moment, je dois trouver Chad, car il ne faudrait pas qu'il lui arrive malheur.
Si c'était le cas, je ne pourrais pas m'empêcher de culpabiliser.
Mais où est-il donc ?
Je continue à le chercher alors que j'applaudis distraitement lorsque la cascade de champagne est lancée.

William Foster a écrit:: Je sors prendre l'air sur le pont superieur du bateau et j'admire la lune qui se leve a l'horizon, j'appercois dans l'ombre Carry qui se penche par dessus le bastinage, prete visiblement a faire une nouvelle betise...
Incorrigible adolescent, je re rentre dans le salon pour aller me servir un peu de champagne.

Mc Farland a écrit:: Etant perdu dans mes pensées,je n'avais guere envie de me lancer dans un discour interminable.Je me leve en direction de cette magnifique tour de champagne. Sur le chemin je me presse de quelquse sourires pour mes invités toute en scrutant la salle. Au fond j'apercois Russel au coté d'Alicia. Russel m'a l'air absent ce soir. Ces deux la côte à côte...Cela m'inquiete....
J'irai voir ca de plus près plus tard. Reposant mon verre sur la table.
Bon! Pour l'instant prenons plaisir à cette soirée...Tres bien! Ou sont les femmes dis-je en me frottant les mains.

[Salle de reception]

Chad SOUARES a écrit:: Je me présente à l’entrée j’entend le fin de ce discours et le bruit de bouchon de champagne. Je longe les murs en m’aidant de ma canne blanche, pour me diriger vers l’endroit ou les verres se trinquent et se remplissent. C’est là, ça doit être le bar, aucune voix familière dans mon entourage. Je demande au barman une coupe. Je sort de ma poche une cigarette, une brune, une cigarette française que l’on trouve ici sur le paquebot. Je fouille dans ma poche intérieur, non, mes poches latérales, non plus. Mince ou j’ai pu bien mettre mon briquet.

Je baille, soirée ennuyeuse. Je m’assois plus confortablement sur le tabouret.

Alicia Stafford a écrit:: Décidément cet homme a voulus faire les choses en grand !!!

Quel gâchis, tout cet argent jeter par la fenêtre !!!

Avait il vraiment besoin de montrer à tous le monde qui déborde d’argent, et de graisse soit dit en passant ?!

Et tous ces gens qui ne pense qu’à boire et a s’empiffrer quelle honte !!!

Je les trouve presque écoeurant !!!

Je ne suis pas contre le fais de manger et de boire à sa faim mais de là à montrer son argent comme le font tous ces gens, c’est aberrant !!!

William Foster a écrit:: Je ressors et m'allume une cigarette tout en gardant un oeil sur Carry. Elle a l'air tellement déconnectée de la réalité qu'elle serait capable de se jeter à l'eau

Demi-Dieu Nombre de messages : 213 Age : 53 Date d'inscription : 12/11/2006

Les serveurs font alors la distribution de champagne et de parts du gateau d'anniversaire, les musiciens retournent à leurs intruments après avoir englouti quelques flûtes et se préparent à lancer le spectacle des fille du moulin rouges parisien.
Près du bar, Soeur Sandoval s'exclame d'un grand "Ah, vous êtes là!" en tendant une main vers Chad Soares qui à l'air d'apprécier plus les coktails du barman que le champagne, mais il faut dire que les serveurs semblent l'ignorer complètement, à croire que sa cécité ou son visage défiguré par la vérole leur donne une bonne excuse pour ne pas s'approcher de lui.
A l'autre bout du bar, la très belle Alicia Stafford et son Ami Edwing Russel semble entrer dans une conversation des plus véhémente. Mais Alicia avait réussi à faire comprendre à tout le monde que le luxe n'était que pour les nantis, et qu'elle était plutôt pour le partage des valeurs et des richesses! Allez comprendre ce qu'elle fait sur ce paquebot!
De son côté, le Commandant Tim Fritz reste stoïquement à apprécier une coupe de champagne qu'il effleure tout juste du bout des lèvres et à l'air de sursauter au moindre petit bruit pouvant survenir de toute part, il semble prendre très à coeur la responsabilité d'un tel navire et la sécurité de ses passagers. L'armateur passe alors près de lui avec une assiette de son gateau qu'il lui remet entre les mains et tout en lui tapotant l'épaule lui déclare "Il faut vous amuser ce soir, mon ami, décoincez-vous, c'est pas tous les jours que j'ai 46 ans!" et il repart de plus belle se méler à un petit groupe de dame quadragénaires mais toutes visiblement plus riche, les unes que les autres, et lance ses grands éclats de rire à chaque plaisanteries de ces dames ...
Carry et Foster ne sont toujours pas revenus pour prendre une part de gateau, tandis que Jerry Moore, Steven Magot et Chun Cameron semblent tenir compagnie à Paula Mudra, le détective, se frisant la moustache, son satanné tic qu'il ne peut maîtriser, le représantant des usines Ford roulant des mécaniques pour faire le joli coeur devant la journaliste qui visiblement ne sait plus comment se débarrasser de ses trois interlocuteurs!!

Tim Fritz a écrit:: Je sirote mon verre de Champagne, un peu perdu dans mes pensées, quand Chris Mc Farland me pose la main sur l'épaule. Je lui lance un regard surpris, puis lui décoche un sourire sincère. En regardant l'armateur s'éloigner vers un groupe d'invité un peu plus loin de la table, j'aperçois Paula Mutra...
Elle est entourée de plusieurs homme, que je ne distingue pas très clairement d'ici, je crois que je vais aller la saluer, cela me changera les idées, et puis Chris à raison ce soir c'est la fête, je ne devrais pas rester si distant ! De plus j'aimerai en savoir plus sur sa présence sur mon bâtiment.
Peut être sera t'elle d'accord pour m'accompagner sur le pont, j'en profiterai pour jetter un coup d'oeil rapide au poste de commandement et prendre des nouvelles du navire.
J'attrappe gentillement une jeune fille qui éffectue le voyage en temps que serveuse sur ce navie et lui demande de m'accompagner pour rejoindre Paula. La jeune serveuse est mignonne me dis-je en commencant à marcher...

Demi-Dieu Nombre de messages : 213 Age : 53 Date d'inscription : 12/11/2006

Le commandant Fritz s'approche alors de Paula et de ses dignes chevaliers servants!! Il est accompagné d'une petite serveuse aux formes fort peu vertueuse et d'un décolleté pigeonnant tombant très bas sur sa poitrine. Vous aviez cru comprendre que l'armateur rendrait la soirée attrayante, certains y verront peut-être là un signe annonciateur!!
Lorsque Fritz arrive à la hauteur du groupe, il s'incline vers Paula en lui faisant un très solennelle baise main à la française assorti d'un "Mes Hommages, Mademoiselle Mudra! Vous êtes très belle dans cette robe ce soir ..." puis il se retourne nonchalemment vers les 3 autres convives pour le ssaluer à tour de rôle.
LA petite serveuse, s'approche alors, s'interposant presque entre la journaliste e tle reste du groupe et proposant uen coupe de champagne à la ronde

Paula Murdra a écrit:: "Commandant Fritz, quel honneur ! Je suis ravie de vous rencontrer". La phrase du Commandant "vous etes tres belle dans cette robe ce soir.." et son regard qu'il posa sur moi m'interpelle. La serveuse s'interpose entre moi et le reste du groupe... Mais quelle pinbeche celle là ! En tout cas vu la situation, on dirait que le commandant et cette médiocre serveuse se cherche vu les regards qu'ils se lancent... Bon allez un verre de champagne de plus, ça ne me fera pas de mal...

Chun Cameron a écrit:: Paula parle et je ne peux m’empêcher de la regarder, je bois ma coupe de champagne et lui trouve un goût amer, si seulement elle pouvait leur demander de partir, j’ai enfin réussi à me dégager de la femme qui me draguait à ma table pour réussir à accoster Paula, et il faut que ces deux hommes fassent les beaux devant elle.

Il va falloir que je joue des coudes mais j’y suis habitué...

Et c’est avec agacement maintenant que je m’allume une cigarette, fait claquer mon zippo entre les doigts, et me demande si je ne vais pas rejoindre ma cavalière fortuné qui me faisait les yeux doux et avant de partir se coucher me glissa à l’oreille son numéro de cabine.

William Foster a écrit:: Je rentre dans le grand salon et m'assoit au bar. Je commande un verre d'alcool fort, je devrais peut etre me calmer car l'alcool commence a me monter a la tete.
Je boit mon whisky distretement quand je voit dans l'assemblé Louise Sandoval. Je l'ai peut etre decu tout a l'heure en l'evitant, je me dirige vers elle pour engager la conversation

Louise Sandoval a écrit:: Alors que je discute avec Chad, je vois que William s'approche de moi. Ne sachant pas trop quoi en penser, je force mon esprit à rester calme et clair.
Peut être vient-il tout simplement me demander d'arrêter de le poursuivre ? Il ne faut pas que je me réjouisse d'avance. Mais je n'y arrive pas. Tel un enfant le matin de noel, je suis impatiente d'entendre sa voix. Je suis impatiente de lui parler.
Malheureusement, il y'a Chad. Je dois m'occuper de lui. Cruel dilemne que le miens. Vais-je "abandonner" Chad pour pouvoir discuter avec ce charmant William, ou bien vais-je laisser William en plan (comme il a fait pour moi d'ailleurs...), de sorte à pouvoir m'occuper de Chad ?
Je n'arrive pas à me décider, alors que William est déjà devant moi...

Tim Fritz a écrit:: Paula m'a sourit étrangement, et maintenant que je salue rapidemment ses prétendants, je la vois jetter un regard noir à la jeune serveuse que j'ai amené avec moi. Elle a détourné le regard et fixe d'un air rêveur le comptoir en chêne marbré, tandis qu'elle sirote distraitement son verre. Je ne peux réprimer un sourire moqueur en la regardant. Ma jeune serveuse vient de semer le trouble parmis les hommes, mais pas seulement dirait on...
Je décide de la sortir de ses rêvaseries pour lui proposer de m'accompagner sur le pont principal. Je la complimente une fois encore sur la douceur de ses traits et sur le fait qu'elle porte à la perfection la robe que je lui ai fait apporter.
Je la sais visiblement très sensibles aux compliments, et espère au fond que ce ne sont pas la que superficialitées.
Un Homme... Chun Cameron se trémousse sur son tabouret de bar, et il vient dans un geste à la fois élégant et rapide de s'allumer une cigarette. Je vais lui demander une cigarette... avant qu'il ne parte !
J'espère que Paula acceptera ma requette.

Paula Murda a écrit:: J'accepte la demande du Commandant Tim Fritz, histoire de sortir de cette ambiance pesante... histoire de prendre un peu de recul... et pourquoi pas connaître ce cher commandant. Je sens le regard des hommes se posait sur moi... serait ce à cause de cette robe ? Je finis de boire mon verre de champagne et et j'attends le commandant Tim pour aller sur le pont.

Jerry Moore a écrit:: J’écoute le discours, mais l’alcool et le gâteau ne m'attirent que très peu, je suis beaucoup plus intéressé, par les enquêtes, je n’aime ce genre de soirée que parce que ça me laisse matière à observer les autres, étudier leur comportement. Tiens visiblement Mac Farland est attiré par Paula. Je continue de surveiller ce petit monde, mon instinct ne se trompe jamais lorsqu'il se trame quelque chose, je ne sais pas encore de quoi il s’agit mais je le sent…

Tim Fritz a écrit:: Paula, vidant d'un trait sa flûte à champagne, me regarde de ses yeux profonds, et accepte d'un sourire ma proposition de sortie sur le pont. L'atmosphère surchauffée et pesante de la grande salle de bal du navire me presse vers la sortie. Attrapant le bras de la journaliste avec politesse et un semblant de grâce pataude, je l'emmène d'un pas décidé vers le pont principal. Je dois, malgrès mon grade, bien souvent me battre pour écarter la foule un peu émmèchée qui s'entasse près des issues. Je ne peux m'empêcher de lui sortir des banalités sur le temps et la fête, de toute façon, je crains qu'elle n'entende pas un traitre mot de ce que je lui raconte, mais elle me sourit toujours avec politesse. J'emprunte alors le long couloir de feutre rouge, le son de mes pas est atténué par l'épaisse moquette brodée de fils d'or, et le brouaha de la salle de bal s'éloigne en même temps que nous progressons. Déjà je peux sentir les embruns, et l'atmosphère se froidit... J'aime cette sensation de retour à la réalité. Je regarde Paula et lui fais un grand sourire... mais de quoi vais je bien pouvoir lui parler ?

Paula Mudra a écrit:: On quitte cette salle à l'ambiance pesante pour rejoindre une salle plus froide... je commence à avoir des frissons dans le dos...je me frotte les bras pour me rechauffer. plus nous nous éloignons plus l'atmosphere se refroidit, plus j'ai froid... je savais que je n'aurais pas du boire comme j'ai bu ! l'alcool ne rechauffe pas le corps... bien au contraire... puis nous nous arretons. je souris au commandant, il me repond... je vois dans son regard qu'il a l'air embarassé de ne pas savoir quoi dire, il regarde ailleurs. Ne sachant pas trop quoi dire, je lui demande comment il trouve cette soirée ?

» 14 juin 1938, un peu avant minuit ....
» Le 14 juin 1938, peu avant minuit.
» 15 juin 1938, il est 4h